News

Apostille – Virile Strain Transmission

today16/02/2016 247

Arrière-plan
share close

L’apostille, c’est cette note discrète en pied de page, sans rapport avec le contenu, un truc auquel personne ne fait gaffe mais qui garantit l’authenticité. Un sceau. Apostille de son propre label Night School Records (Molly Nilsson, Sally Dige, Paper Dollhouse…), aussi discret qu’efficace à promouvoir par l’expérimentation pluristylistique la diversité de son catalogue, Michael Kasparis vient de sortir son troisième album, Virile Strain Transmission, au titre étrangement parfumé d’eugénisme masculinisé dans un label à dominante féminine.

Après un Perpetual Dirt à la noise-pop technoïde et un Powerless entrelaçant EBM et new wave, l’Écossais s’extrait de plus en plus de son approche pop mais continue à synthétiser sa démence maîtrisée et offre sept morceaux de « souche virile » à classer entre IDM pour survivants de l’apocalypse musicale et raving techno pour gabbers nyctalopes. En écoute intégrale et captivante ci-dessous.

Audio

Écrit par: Ted Supercar

Rate it

Commentaires d’articles (0)

Laisser une réponse

Votre adresse email ne sera pas publiée. Les champs marqués d'un * sont obligatoires

HZ since 2007

Hier, sans aucune forme de prétention, nous cherchions à transcrire et à réfléchir notre époque. Curieux et audacieux, défricheur passionné, nous  explorions  sans oeillères et à travers un contenu éditorial toujours riche
et exigeant l’ensemble des strates qui composaient le monde bouillonnant de la musique indépendante, ses marges souvent nichées dans le creuset du web comme le halo médiatique qui entourait certains. Mais çà c’était avant. Aujourd’hui, on fait ce qu’on peu !

Contact us

doner dooner

dieu vous le rendra….

0%