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Plus qu’un homme, Johnny Marr est une véritable institution de la pop britannique. Guitariste au talent indéniable, il aura marqué l’histoire de The Smiths tout autant que Morrissey lui-même, de ses riffs cinglants et chargés d’émotion à la fois. Après avoir éprouvé son talent auprès de groupes tels que The The, Electronic ou encore The Cribs, à 49 ans, le musicien s’apprête finalement à voler de ses propres ailes en livrant son premier album solo, The Messenger. Voici donc un premier extrait du titre éponyme dévoilé sous la forme d’un clip  en noir et blanc, épuré, au contraste très appuyé. Un style très sobre qui colle parfaitement à la pop radieuse et très classique du musicien qui ressuscite l’aura des Beatles autour de ce morceau d’une somptuosité absolue.
Écrit par: hartzine
Hier, sans aucune forme de prétention, nous cherchions à transcrire et à réfléchir notre époque. Curieux et audacieux, défricheur passionné, nous explorions sans oeillères et à travers un contenu éditorial toujours riche
et exigeant l’ensemble des strates qui composaient le monde bouillonnant de la musique indépendante, ses marges souvent nichées dans le creuset du web comme le halo médiatique qui entourait certains. Mais çà c’était avant. Aujourd’hui, on fait ce qu’on peu !
dieu vous le rendra….
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julien sur 30/11/2012
quelle bouse épouvantable, mais qu’espérer ? …ok, les Smiths, ok…le père Marr a touché le jackpot avec les lignes claires piquées aux frères Head (Pale Fountains) et à Viny Reilly (Durutti Column)… son vrai fait d’armes c’est ses deux albums avec The the dont l’inoxydable Dusk…pour le reste il n’a fait que pourrir des groupes même géniaux, l’exemple le plus dramatique étant Modest Mouse…