Changer sans rien jeter
Conscient qu'écrire dans les limbes d'internet confine à se satisfaire d'un éternel éphémère, c'est toujours sans nostalgie aucune que l'on se défait de nos us et coutumes d'alors pour en adopter de nouveaux. Oui, le Hartzine d'avant ne ressemble en rien à celui de maintenant : on publiait moins, par salves, une puis deux fois par semaine, des articles plus longs, selon un format plus proche du blog que du site. […]