Jim Yamouridis – Into the Day
Motus. Certains noms seront bannis de la présente humble chronique. Et je vous promets de me tenir à cette discipline quelque peu déstabilisante, non pas par superstition à l'image du célèbre « Celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom », ni à cause d'une éventuelle censure imposée par mon maître bisontin, mais tout simplement parce qu'à mon sens, pour considérer ce magnifique album avec respect, il est essentiel de ne pas l'envisager comme une pâle copie des Å“uvres […]